jeudi 27 mars 2008

Journée de la presse à George Sand


























































Petit tour de table à la rédaction de Pink Paillettes : la journée de la presse, qu'en avez-vous pensé ?












" Trop bien, franchement !"






Rania. -L'an dernier, certains n'avaient pas kiffé la journée. Ma classe de l'an dernier était pourrie, ils faisaient n'importe quoi, la prof criait tout le temps !






Lucie - Non, l'an dernier, c'était génial ! Cette année, c'était speed, j'ai aimé l'après-midi.






Rania. - C'est bizare, tout le monde travaillait, a fait des artciles, j'ai fait une bombe d'article sur Alzheïmer.






Ihsane. - Moi, sur Chantal Sébire.






Raby. - Moi, sur les moyens mnémotechniques.






Rania et Ihsane. - Nous l'après-midi, on a fait une bombe d'interview de Nina, on a fait un article sur le slam.






Raby. - L'événement surprise, je croyais pas que c'était comme ça. C'est vrai ou faux ? Ils veulent faire un centre de vie pour retraités, pour mélanger les jeunes et els vieux, qu'il n'y ait pas de différences.






Lucie. - C'était minable, franchement ! (On le saura, les élèves n'ont pas aimé...)






Raby. - J'ai aimé la remise de prix pour le hand ! Le directeur a appelé Pink Paillettes pour une photo, mais personne n'est venu !






Zineb. - C'était mieux l'après-midi que le matin car on n'avait rien à faire (Zineb était rédactrice en chef). Après 10 heures 30, on attendait les articles et que les autres nous apportent leurs titres.












"Qu'avez-vous appris ?"






Raby. - Que George Sand a fait beaucoup de voyages.






Rania. Que les gens atteints d'Alzheïmer ne peuvent plus reconnaître leur reflet dans le miroir, ont peur d'eux-mêmes, ont peur de plein de choses.






Zineb. Que le métier de journaliste est dur, comment travaille John Paul Lepers.






Hassniya. A faire un chemin de fer, à gérer un groupe : c'est dur, je comprends les profs (Réflexion à noter dans les annales du collège !)












"Qu'avez-vous aimé ?"






Lucie. - Les bonbons de madame Rotureau. (C'était son anniversaire)






Rania et Ihsane. - Madame Lasnier !






Raby. - Les gens de l'ambiance (reporters d'ambiance) sont venus nous poser des questions. En groupe, on faisait du travail, j'ai aimé.






Lucie. - Rien. Tout. Rien. Le plus important que j'ai aimé ? Je ne sais pas....






Zineb. - L'après-midi, parce qu'on avait de quoi s'occuper.






Sabrina. - Cette journée, je l'ai aimée tellement c'était bien : les profs étaient bien, on travaillait tous ensemble, on était motivé, enfin, j'étais à fond dedans !






Ihsane. - Interviewer John Paul Lepers, c'était bien. L'ambiance, ça partait pas en sucette, tout le monde faisait ce qu'il avait à faire, on communiquait tous, on se comprenait.


















mardi 25 mars 2008

John Paul Lepers "journaliste"




John Paul Lepers a assisté, le 20 mars, à la "journée de la presse" ; il est venu faire une conférence et en même temps filmer commment s'est déroulée la "journée de la presse". Il a voulu faire journaliste car il aime raconter des histoires. Il a débuté sa carrière de journaliste en 1981 chez TF1 et France Inter (radio), ensuite, il s'est dirigé vers Canal + .


Quelques anneés plus tard, il quitte Canal + et il crée son propre site "la télé libre" avec une équipe (latélélibre.fr). Chaque jour, il y a au moins une vidéo. Jusqu'à maintenant, il a 700 vidéos sur son site, on trouve des interviews, de la politique, des gens inconnus ...


John Paul Lepers est au chômage pour l'instant ; il travaille chaque jour et il n'a pas d'horaire de travail sauf le 1er mai (fête du travail). Il voyage un peu partout dans le monde avec son équipe pour faire des reportages. Pour l'instant, il veut faire un reportage sur le front national.
Zineb.

jeudi 20 mars 2008

l'Angleterre, c'est GRAND !

L'Angleterre, c'est grand, très grand !
C'était trop bien, là-bas, c'est bien de changer de pays quelques fois, de visiter pour voir la différence. Eh oui, l'Angleterre, c'est très diffréent de la France, tout est différent ! La nourriture, les rues, les magasins, etc...
Quand on est arrivé, on est parti à Oxford : quelle belle ville ! On avait quartier libre pendant une heure environ, donc on s'est promené dans le centre ville, nous sommes partis échanger notre argent. 50 euros, environ 33 livres, c'est cher, par rapport à l'euro ! On a fait les magasins, ils sont très grands !!!
Mais nous, ce qu'on préfère, ce sont les rencontres avec des personnes anglaises, parler avec elles, et tout. En fait, c'était trop bien. Ce qui était bien, aussi, c'est que l'on croisait plein de français, des élèves comme nous, qui visitaient l'Angleterre, on parlait avec eux.
Parlons de la famille, maintenant : la femme qui nous a hébergées était stricte, mais gentille. elle avait une fille de 24 ans qui, elle, était très cool ! On parlait avec elle. Ce qui était nul, c'est que la femme nous faisait des repas pas bons, enfin, des repas anglais et nous, on n'aime pas car c'est très différent de la France, enfin, chacun ses goûts ! On est restées trois nuits chez elle.
A Oxford, on a visité plein de musées et de châteaux, enfin, des collèges : les collèges, là-bas, sont très grands, ce sont des châteaux ! On a visité le réfectoire du collège dans lequel a été tourné le premier Harry Potter, "L'ordre des sorciers". C'était trop beau !
Ensuite, après ces trois nuits à Oxford, la belle ville, direction Londres : quelle grande ville , la capitale ! nous sommes restés une journée : en une journée, nous avons visité le château de la reine d'Angleterre mais on n'est pas rentré, nous l'avons juste vu et la reine était dedans car le drapeau était levé. Ensuite, nous avons visité un musée, un grand musée. Et les rues aussi. Il y avait un quartier asiatique, beaucoup de restaurants, des magasins asiatiques, c'était très beau. A la fin de la journée, il nous restait encore deux heures avant de partir, donc nous avons encore eu quartier libre dans le centre ville. Il y avait des centres commerciaux, des magasins de quatre ou cinq étages !!! Très très grands ! Mais ce qui était dommage, c'est le temps : il faisait nuit, nous avons marché dans les rues et sommes allé à la statue où il y a Cupidon, c'était trop beau, il y avait des écrans géants dans les bâtiments, ça faisait comme à New York. C'était l'heure et nous sommes partis.
Mais bon, je peux dire une chose, c'est que ce voyage était la meilleure chose que j'ai faite, il était trop bien ! Les professeurs étaient mesdames Hervouet et Gonçalvès, messieurs Kerdreux et Galetou.
J'ai oublié de dire qu'on a visité la maison de la femme de Shakespeare, un jardin botanique, Blenheim Palace, on a aussi eu des guides.
Hassniya Belhoussine.

vendredi 14 mars 2008

La confiance

Il y a des fois, on aimerait pouvoir se confier à des personnes, mais à qui ? Où sont les bonnes personnes ? Genre, quand on veut se confier, par exemple, la personne me dit qu'elle ne dira rien mais, bon, elle l'a déjà fait ! Je ne sais même plus si je dosi la croire et si je peux toujours me confier à elle !
Un jour, on sera tous trahis par les gens à qui on s'est confiés : les personnes diront qu'elles ont fait une gaffe, ou bien que les gens à qui elles ont parlé ont promis de ne rien dire... Vive les trucs comme ça !!!!
Nous, les filles, on est obligées de se confier, de dire ce qu'on ressent !
Lucie et Sabrina.

La souffrance cachée

Tu te lèves en te disant que tout va bien mais, en fait, ça ne va pas. Tu rigoles, tu te tapes des délires avec tes potes : ils croient que tout va bien. Mais, au fond de toi, rien ne va.
Mais bon, tu ne vas pas l'étaler partout ni le crier sur les toits. Que tu n'ailles pas bien, ça ne va pas s'arranger en le criant. Donc, tu dis à tes potes ce qui arrive, tu te confies mais, même en te confiant, tu ne sais pas à qui faire confiance et, en plus de ça, même en disant ce qui se passe, rien ne s'arrange. Ca te soulage juste un peu.
Donc, les filles, arrêtez de croire que c'est parce qu'on se tape des délires avec vous qu'on va bien : on a tous nos problèmes.
Lulu et Sab.

Oradour-sur-Glane






























Le mardi 4 mars, nous sommes partis visiter un village, Oradour-sur-Glane. Là-bas, il y avait un musée qui raconte l'histoire des villageois, ce qu'ils ont subi : ils ont été massacrés par les Allemands le 10 juin 1944. 640 victimes : enfants, béébs, femmes, vieillards, hommes : tous ont été fusillés et brûlés dans l'église ou des granges. Six rescapés du massacre ont témoigné. Et travaillé pour que la mémoire soit transmise aux générations futures.



le matin, nous avons visité le musée et cela ne m'a pas fait réaliser la souffrance qu'ils ont vécue : c'est l'après-midi, lorsqu'on a visité le village martyr que c'est arrivé. ce fut mieux que la matinée, car la visite du village permet de ressentir de la compassion. L'endroit du village qui m'a le plus marquée, c'est le mémorial, à côté du cimetière : il y avait deux plaques. Sur ces plaques, il y avait marqué le nomd es victimes, dont un bébé de 8 jours !!!!!!! Là, ce fut le déclic, je me suis aperçue à quel point les soldats de cette époque furent barbares !


Rania et Ihsane.







Un bon élève... a des devoirs...

Un bon élève doit bien se comporter en classe : écouter son professeur. Arriver à l'heure. Avoir toujours ses affaires. Apprendre toujours ses leçons pour le cours suivant. Il ne doit pas être insolent, il ne répond pas aux professeurs. Il doit faire le travail demandé en classe et à la maison. Il doit être présent dans tous les cours, écouter en classe, avoir toujours son matériel.
Zineb. (Article à suivre la semaine prochaine)