mercredi 23 avril 2008

Justine lève le voile sur sa conversion à l'Islam

Lors de notre conversation sur les jeunes filles voilées, nous avions appris que Justine, la grande soeur de Lucie s'est récemment convertie à l'Islam et a choisi de porter le voile. Pour Pink Paillettes, Justine a accepté de répondre aux questions de Lucie. Aujourd'hui, elle se prénomme Najwa, qui signifie "secret, confiance".
Lucie : Pourquoi ce voile et ce changement de prénom ?
Najwa : Ce voile, parce que c'est une soumission à Dieu, le changement de prénom n'était pas obligatoire mais préférable.
Lucie : Pourquoi t'es-tu convertie à l'Islam ?
Najwa : A la base, j'ai fait un rêve qui m'a dit que c'était la fin du monde et qu'il fallait que je me convertisse car l'Islam était la vraie religion.
Lucie : Avant, coyais-tu en Dieu ?
Najwa : Avant, je croyais en un dieu, mais je ne savais pas lequel.
Lucie : Qu'ont dit nos parents quand tu leur as annoncé ta conversion à L'Islam et ta décision de porter le voile ?
Najwa : Ma mère n'était pas contre, elle m'a dit "Si c'est pour ton bien"... Mon père, il n'était pas trop d'accord, puis, après, il a vu mon comportement changer et a dit qu'il préférait me voir comme ça que comme les filles de nos jours.
Lucie : Qu'ont dit tes copines ?
Najwa : Je n'ai pas d'amis, pour moi, ça n'existe pas.
Lucie : Aurais-tu pu épouser ton compagnon si tu ne t'étais pas convertie à sa religion ?
Najwa : Oui, j'aurais pu l'épouser même sans m'être convertie. Et je m'étais convertie avant de le rencontrer.
Lucie : Quel regard les châtelleraudais posent-ils sur toi, qui n'es pas maghrébine mais voilée ?
Najwa : Je ne sais pas, mais, en tout cas, il y en a qui disent que c'est pour plaire aux gens, d'autres qui disent que c'est bien.
"Moi, je trouve que c'est son choix, qu'elle sait ce qu'elle fait, elle n'a pas fait ça sur un coup de tête. Même si elle savait que ça allait être dur à dire à mes parents, surtout à mon père car ma mère se doutait car elle la voyait faire la prière et tout. Je sais que des gens disent qu'elle a fait ça sur un coup de tête, mais non. tout le monde a le droit de se convertir."
Lucie.

O-Topsi


A Châtellerault, dans le 86, il y a un groupe nommé O-Topsi. C'est un groupe de trois garçons. Leur style de musique est le Rap. Ils chantent plutôt bien !


J'ai interviewé une fille de ma classe, Fatima.

Raby : Aimes-tu leur style de musique ?

Fatima : Je n'aime pas trop le rap, mais, sinon, j'aime bien.

Raby : Connais-tu des titres de chansons qu'ils chantent ?

Fatima : Nicolas, Patrimoine du ghetto.

Raby : Tu écoutes souvent leur musique ?

Fatima : Pas souvent, mais quand j'en ai l'occasion.

Raby : As-tu d'autres choses à ajouter ?

Fatima : C'est du bon, faut qu'ils continuent ainsi.

Raby : Comment trouves-tu leur style de fringues ?

Fatima : J'aime bien, ça fait gore, caillera et tout !

Raby : Es-tu déjà partie à un de leurs concerts ?

Fatima :Oui.

Raby : Comment as-tu trouvé ça ?

Fatima : C'était de la bombe, j'ai kiffé leurs textes, y avait de l'ambiance !

Raby : Un petit dernier mot ?

Fatima : J'espère qu'ils iront loin.

Raby : Donc, nous souhaitons à ce groupe une bonne continuation pour la suite...


Raby.


"Moi, j'aime trop leurs musiques, c'est des bombes ! Les paroles, Patrimoine du ghetto, On a du mal à se confier, Sponsorisés, Y a ceux."

Hassniya et Lucie.


"Ces trois jeunes s'appellent Mohamed, Ali et Issa, mais ils chantent aussi en solo. Mohamed chante "Nicolas, Ta bague au doigt", par exemple. Et aussi, ils font des musiques avec d'autres jeunes comme sélim, lui, il chante trop bien aussi !!! Il a à peu près le même son de voix que Mohamed. "

Hassniya.


"Moi, j'aime aussi leur zik et, en plus, les paroles sont vraies, enfin, elles ne sont pas sans intérêt."

Lucie.


mardi 22 avril 2008

Concours national de journaux scolaires

Voici le courrier que la rédaction de pink Paillettes a reçu hier du Rectorat ; il s'agit d'une lettre d'Anne Delineau, coordinatrice du CLEMI (Centre de Liaison de l'Enseignement et des Médias d'Information), qui annonce la sélection de Pink paillettes pour la phase nationale du concours :

Pink Paillettes a été choisi pour participer au concours Alexandre Varenne au niveau national : un grand BRAVO à toute l'équipe !

Ce que nous avons apprécié dans votre journal :
- Le ton résolument différent et personnel : des filles qui s'expriment avec humour ou colère sur des sujets de société, la vie du collège ou du quartier.
- Beaucoup d'humour dans les illustrations aussi, et une maquette qui colle à cet enthousiasme : polices variées, mise en page aérée.
- L'éditorial, dynamique, qui donne d'emblée le ton.
- Des sujets variés, développés et dans des styles différents : interview, reportage, billet d'humeur...

Des pistes pour améliorer votre journal :
- Un rubriquage permettrait au lecteur de se repérer plus facilement dans le journal, notamment de savoir si l'on a ou non quitté un dossier.
- La Une pourrait servir d'accroche dans la présentation des sujets traités.

CLEMI de la Vienne.

lundi 21 avril 2008

Aimé Césaire ou Thierry Gilardi ?

Ce matin, grand moment de solitude pour l'animatrice de l'atelier journal, venue avec une revue de presse sur Aimé Césaire, dans l'espoir de faire écrire aux rédactrices de Pink Paillettes un article sur le poète français disparu vendredi dernier... Aimé Césaire ? Connaissent pas.
" Ah, si, celui qui est mort, là, tout le monde en parle, je vois pas pourquoi, j'le connais pas !"
" Ma mère m'en a parlé, j'ai compris qui c'était."
Explications de l'animatrice -accessoirement professeur de français- sur la vie d'Aimé Césaire, lecture à voix haute d'un extrait de Cahier d'un retour au pays natal : "C'est trop compliqué ! J'y comprends rien ! C'est quoi ces mots, là, quiètes années ?"... Rien n'y fait.
L'explication du poème vite abandonnée ("On n'est pas en cours de français"), l'animatrice annonce que la France lui rend un hommage national, que le Président de la République s'est rendu à ses obsèques, qu'Aimé Césaire était pressenti pour être enterré au Panthéon mais sa famille a refusé.
" Au quoi ? C'est quoi ça ?"
Qu'est-ce que le Panthéon ?
Un lieu où sont enterrés les grands hommes.
" Et pourquoi Aimé Césaire et pas Thierry Gilardi, alors ?"
"C'est vrai, ça : il est mort à 45 ans ! Lui, tout le monde le connaissait!" (sauf l'animatrice de l'atelier journal...)
"Oui, pourquoi il irait pas au Panthéon, lui, Gilardi ?"
Sabrina, guidée par la documentaliste, mène une recherche sur le Panthéon, dont voici la définition :
1) Terme désignant à la fois l'ensemble des dieux d'une religion ou d'une mythologie et l'édifice consacré par les grecs et les romains à toutes leurs divinités.
2) Monument où reposent les grands hommes (les Grands Hommes) d'une nation.
Avant de réaliser ce travail, j'avais souvent entendu parler du "Panthéon de Paris" mais je n'aurais absolument pas été capable de dire de quoi il s'agissait. C'est pourquoi je précise dès le début la signification de ce nom. Les Grands Hommes qui reposent au Panthéon sont capables, par leur valeur (réelle ou supposée) d'édifier le peuple. On trouve, au Panthéon de Paris, Victor Hugo, Colette, Voltaire, Alexandre Dumas, Rousseau, Jean Jaurès, Jean Moulin, André Malraux, Mirabeau...
Sabrina.
Alors, pourquoi Aimé Césaire au Panthéon et pas Thierry Gilardi, présentateur de téléfoot ? Réponse demain soir, après la séance de l'atelier journal...

samedi 5 avril 2008

Le sport, un avant-goût de bonheur...





















































































































































































































































































Ce vendredi 4 avril avait un air de printemps : pâquerettes, soleil, pelouse, tournois de foot, presque un air de (grandes) vacances !!! Au fil du reportage-images, un élément m'a frappée : le sourire affiché ostensiblement (ouvertement) par tout le monde ! Tout le monde avait cet air heureux des journées au grand air. Un avant-goût de bonheur ? Serait-ce cela aussi, le collège ?

mercredi 2 avril 2008

Discussion autour d'un voile : les photos
















Ces photos ont été prises pour illustrer l'article sur le port du voile : nul manque de respect dans ce jeu de la part des rédactrices de Pink Paillettes ou de l'animatrice de l'atelier journal.

Discussion autour d'un voile...

Lundi, à la rédaction de Pink Paillettes, on discutait fermement : la lecture d'un article présentant une jeune fille musulmane avouant porter le voile par intermittence ("Ce'st quoi, M'dame par intermittence ?") a échauffé les esprits, à croire que le sujet passionne encore... Lisez plutôt :
- "Autant ne pas le porter du tout", a été le cri du coeur des Pink Paillettes : Rania, Hassniya, Sabrina et Ihsane. Le lundi, ni Zineb, ni Raby ne sont à l'atelier. Lucie était absente.
Les réactions se sont enchaînées : pourquoi porter le voile ? Finalement, il se trouve que toutes les filles de la rédaction sont intéressées par le sujet : la religon musulmane fait partie de leur culture à toutes, pratiquantes ou non. On porte le voile pour respecter le Coran, soit, mais ne peut-on respecter sa religion sans porter ce voile ?
Ihsane, plus haut que ses camarades, affirme sa liberté de ne pas porter le voile : sa mère ne le portant pas, elle ne voit pas pourquoi elle serait amenée elle, à le porter, surtout en France ! A Alger, soit, mais pas ici ! Sabrina évoque ses déboires avec sa tante qui, voilée, voudrait régir la tenue vestimentaire de sa nièce, qu'elle juge parfois trop court-vêtue... "Elle n'est pas ma mère, elle n'a rien à dire sur ma façon de m'habiller".
C'est qu'en effet, porter le voile va de pair avec un comportement vestimentaire et social : finies les jupettes, les bijoux cliquants, la ceinture dernier cri, le maquillage gloss sur les lèvres, les bottes-cuissardes. Le voile impose le respect : "le respect passe partout", mauvais jeu de mots, sans doute, mais révélateur : la fille voilée ne se voit que parce qu'elle est, voilée, identifiable, à Châtellerault. D'elle, on ne voit plus la chevelure, que les rédactrices de Pink Paillettes portent longue, méchée, lissée parfois, coiffée, choyée comme un trésor, on ne voit plus le corps, les formes, les courbes du corps sont effacées par d'amples vêtements : "On ne doit voir que les mains et le visage".
Finies les sorties en boîte, la cigarette, les sorties avec les garçons : porter le voile, c'est respecter la réputation que la famille des filles souhaite conserver. "Il y en a qui se mettent à porter le voile parce qu'elles ont une réputation, et qu'elles veulent l'arrêter. C'est hypocrite. " : "C'est une façon comme une autre d'avoir la paix". "On n'a pas besoin de porter le voile pour vivre notre religion !". "Ma mère, en arrivant en france, n'a jamais porté le voile, elle a mis des jupes courtes, je ne vois pas pourquoi je porterais le voile ! Sauf si ma mère me demande de le porter."
Au fil de la discussion, on aborde le sujet de la façon moderne de porter le voile, sans renoncer à sa coquetterie : une ancienne élève du collège s'est convertie à l'Islam et porte le voile, mais elle le porte coloré, en harmonie avec ses vêtements, il peut être rouge et blanc, par exemple. Cette façon de porter le voile ne soulève pas de critiques, c'est même plutôt bien accueilli, même si l'idée semble étrange, puisque venue d'une jeune fille non musulmane convertie récemment.
La conversation en revient à la question de l'honneur puis bascule : "C'est abuser : il y a de l'hypocrisie partout ! Mes tantes, elles fument, et quand elles ont vu ma soeur fumer pour la première fois, elles l'ont critiqué, disant qu'elle salissait l'honneur de la famille !" La notion d'honneur et de respect fait parler. Mais la sonnerie interrompt ce passionnant débat.
Mardi, Zineb et Raby nous rejoignent. La discussion reprend.
Pour Raby, mettre le voile n'est pas envisageable, Zineb le portera, mais plus tard : toutes l'admettent, on porte le voile quand on est grande : "Ca veut dire qu'on grandit", assure Zineb. Ce sera son choix, pas celui de sa famille, même si sa famille sera honorée de son choix. Décidément, elles en savent, des choses sur la religion et le voile, les rédactrices de Pink Paillettes, et les mots arabes pleuvent, que ne comprend pas l'animatrice de l'atelier, à qui il faut traduire : ce qui est interdit, ce qui est autorisé par le Coran, le voile, le foulard, la Burka (ça, je connaissais), le voile qui couvre le visage, celui qui laisse la chevelure apparaître, la voile qui couvre le corps en entier... On porte le voile à la Mosquée, pour prier, ou bien on ne respecte pas tout à fait le Coran, par exemple.
Ihsane montre de quelle façon elle peut porter le voile, en Algérie, sans qu'on la reconnaisse : "Ma tante, elle sait reconnaître ses copines qui portent le voile, alors qu'il n'y a que leurs yeux qui dépassent ! Je me demande comment elle fait ça !". "Il paraît qu'on n'a pas toutes les mêmes yeux..." Comme quoi, même cachées sous ce voile, les filles peuvent conserver leur personnalité... Des photos sont prises, à la demande de Raby, Sabrina et Ihsane, qui s'essaient au voile (c'est interdit au collège, mais pour l'article, on joue à cache-cache-voilée) : les reconnaîtrez-vous derrière le voile ? Aux yeux ? Essayez donc. Raby rit : "Pour moi, c'est facile !" Raby a la peau noire, facile de la reconnaître, en effet... Peu de femmes de peau noire (les "renois") portent le voile, à Châtellerault : seulement deux, connues par les rédactrices de Pink Paillettes.
Au C.D.I., où a lieu la discussion, la classe de 6ème4 est là, elle travaille avec monsieur Mastorgio sur... un concours de journaux scolaires !!! Les 6èmes4 préparent un journal du patrimoine : trois articles, l'un sur l'ancien théâtre, un sur le Pont Henri IV, un sur la Manufacture d'armes... Espérons qu'ils gagneront ! Goundoba, jeune élève de 6ème4, noire et musulmane, nous rejoint pour une interview : nous savons qu'elle porte le voile, "par intermittence", et souhaitons lui poser quelques questions : elle accepte de bonne grâce, nous la remercions d'ailleurs de sa sincérité. Voici un résumé des propos de Goundoba :
"Je porte le voile depuis deux ans, depuis que j'ai dix ans. C'est jeune, pour commencer à le porter. Ni ma mère, ni mes grandes soeurs ne le portent, mais ma mère en a acheté un sur le marché, en Afrique, et je l'ai porté de temps en temps, puis me suis habituée. Et j'ai trouvé ça joli. Je voulais porter le voile pour respecter le Coran : une fille ne doit montrer que son visage et ses mains. Une femme appartient à son mari, les autres hommes ne doivent pas la regarder. Il me sera difficile de trouver un travail quand je porterai le voile, plus tard.
Les gens me regardent, dans la rue, les musulmans me saluent : "Salamaleikoum". Une fois, une voiture d'arabes s'est arrêtée pour me saluer ainsi, ça m'a choquée, ils n'avaient pas à faire ça simplement parce que je portais le voile !
Ce qui me fait bizare, c'est de porter le voile, mais de l'ôter pour aller au collège, car c'est interdit : je le remets à la maison, je ne le porte pas sur le chemin du collège : les gens me voient tantôt avec le voile, tantôt sans le voile, ça me gêne de plus en plus. Les gens me regardent autrement quand j'ai le voile. Je me sens plus respectée.
Quand je serai grande, j'appartiendrai à mon mari."
-"Moi, même mariée, je n'appartiendrai à personne !!! Je n'appartiens à personne et n'appartiendrai à personne !" s'écrie Ihsane, relayée par Hassniya et Sabrina.
Une fois encore, la sonnerie retentit et interrompt une conversation des plus riches... A suivre, je l'espère.

Félicitations à Pink Paillettes !


Bonne nouvelle ce matin : deux collèges (entre autres) récompensés pour le concours de journaux scolaires sur le plan académique, Descartes et George Sand, deux journaux, c'est une bonne nouvelle ! Bravo à tous ! Et, tout particulièrement, bravo à mes fidèles rédactrices de Pink Paillettes : quel honneur, ne serait-ce que cette première distinction !!!
Voici le texte publié sur le site de l'académie de Poitiers.

"Lauréats du concours de journaux scolaires - 1er avril 2008
Mardi 1er avril, le jury du concours Alexandre Varennes de journaux scolaires s’est réuni pour sélectionner, parmi les 35 journaux participants, ceux qui recevront un prix académique et ceux qui concourront au niveau national.Le jury était composé de formateurs du CLEMI académique, de Pascal Famery (CLEMI national), d’un journaliste professionnel de Centre Presse, de Christa Merlet, Déléguée à la Vie Lycéenne et de M. Begaries, de l’OCCE.

Après avoir lu et relu, avec beaucoup de plaisir il faut le dire, les productions très variées, le jury a donc établi le palmarès suivant :
Ecoles
Le Petit Célestin, journal de l’école Freinet à Soyaux (16)
Bonjour’Nal, de l’école Jean Moulin à Soyaux
Le Canard de l’Auxance, de l’école de Limbre à Migné-Auxances (86)
Ces trois journaux vont concourir au niveau national et recevront une récompense académique.
Collèges
T’as le bonjour d’Alfred, du collège Alfred Renoleau à Mansles (16)
Le Vilarscope, du collège Jean Vilar à La Crèche (79)
Le Ronsard’échaîné, du collège Pierre de Ronsard à Poitiers (86)
Ces trois journaux recevront une récompense académique.
Pink Paillettes, du collège George Sand à Chatellerault (86)
Keskon Attend, du collège René Descartes à Chatellerault
Ces deux journaux vont concourir au niveau national.
Lycées
Léo Parleur, du lycée Léonard de Vinci de Bressuire (79)
Ce journal recevra une récompense académique.
Les Vaches ont la parole, du lycée agricole de l’Oisellerie à La Couronne (16)
Le Vers’dicte, du lycée du Haut Val de Sèvres à Saint Maixent (79)
Info Phare, du lycée Cordouan à Royan (17)
Ces trois journaux recevront une récompense académique et vont concourir au niveau national.
Autres établissements
Fanz’IME, de l’IME Marc Signac à Montmoreau (16)
Ce journal recevra une récompense académique.
Le petit Blabla, de l’IME La Liège à Sireuil (16) Les nouvelles de l’EREA, de l’EREA Anne Franck à Mignaloux (86)
Ces deux journaux recevront une récompense académique et vont concourir au niveau national.
Bravo à toutes les équipes qui ont réussi à produire un journal ! Toutes les productions avaient des qualités et le choix n’a pas été facile !!
A l’année prochaine, pour de nouvelles idées, de nouvelles expressions !"